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Alguma coisa acontece ali

8 Dezembro, 2012

A desatenção ao que sucede em França é algo de francamente misterioso. Não, não falo dessa nova esperança representada por Hollande nem da doideira habitual da direita francesa mas sim da criminalidade em França. O que tem sucedido este ano em Marselha e na Córsega é sinal de alguma coisa no que ao crime organizado respeita:

WEB-201246-corse-morts

24 comentários leave one →
  1. Portela Menos 1 permalink
    8 Dezembro, 2012 12:20

    ainda bem que HFMatos está atenta ao que se passa em … Ffança!

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  2. Jorge permalink
    8 Dezembro, 2012 12:24

    L’argent Madam toujours l’argent

    Aujourd’hui, tout le monde (ou presque) se met d’accord sur la principale source de la violence : la spéculation foncière, la terre transformée en magot dans le cadre d’une économie de rente basée sur la monoactivité touristique et la promotion immobilière pour des millionnaires. Un observateur convoque sa propre situation : « J’ai deux hectares hérités de ma famille pas mal placés près de la mer. Ce sont des terres agricoles qui ne valent pas grand-chose. Si elles devenaient constructibles, je pourrais alors les vendre 400 000 à 500 000 euros. Pour deux malheureux hectares. Vous imaginez le reste. »
    Terres agricoles
    Ouvrir à l’urbanisation des terres agricoles : voilà le sésame vers la richesse et l’accumulation pour une poignée d’affairistes et de bandits. Le levier tient en trois lettres : PLU (plan local d’urbanisme) qu’élaborent les municipalités et qui décident de l’affectation des sols. « Les maires subissent des pressions terribles. Parfois, de petits propriétaires qui voudraient gagner un peu d’argent. Parfois, ils reçoivent la visite de types beaucoup moins amicaux », rapporte notre observateur.
    Comment réagissent la plupart des édiles ? Ils « ouvrent le parapluie », déclarent constructibles des zones agricoles, souvent au mépris de la loi Littoral, et attendent qu’une autorité supérieure empêche le dépeçage. Curieusement, les services de l’État laissent eux aussi passer des documents pourtant illégaux. C’est alors qu’entre en scène la justice. La semaine dernière, le tribunal administratif de Bastia a retoqué le PLU de Sari-Solenzara, sur la côte orientale de l’île. Celui-ci prévoyait d’ouvrir à l’urbanisation 264 hectares dans les espaces proches du rivage, sans continuité avec le secteur déjà urbanisé… Sur les 23 PLU jusqu’ici élaborés en Corse, 12 ont subi les foudres du tribunal. Record de France.

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  3. Portela Menos 1 permalink
    8 Dezembro, 2012 12:28

    noticias e violencia no burgo:
    http://www.tsf.pt/PaginaInicial/Vida/Interior.aspx?content_id=2934164

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  4. Jorge permalink
    8 Dezembro, 2012 12:33

    Ces dix dernières années le modèle libéral low cost, fondé sur l’économie résidentielle et la dé-sanctuarisation, a stimulé leurs ambitions dans l’immobilier notamment. Les trafics vous l’avez souligné ont été florissants pour la drogue, les jeux et la main d’œuvre à bas coût…

    Monsieur le Ministre,

    La Corse connait une situation des plus préoccupantes caractérisée par une double urgence à propos de laquelle l’intervention de l’Etat est indispensable à la fois pour stopper le dérive affairiste et mafieuse et pour soutenir la CTC dans une politique sociale de relance économique par la création d’emplois stables, la lutte contre la cherté de la vie, la construction de logements sociaux.
    La presse samedi rappelait que plus de 100 assassinats ont été commis en Corse depuis 2005. Les causes sont identifiées. La plupart des assassins ne le sont pas. Nous savons qu’il faut de la détermination, du discernement pour agir en conséquence contre cette infime minorité d’individus qui tentent de s’accaparer le territoire, son économie et de corrompre son administration.
    Il est insupportable qu’ils puissent, comme ils le font, tuer qui ils veulent, ou ils veulent et quand ils veulent et s’enrichir ainsi. Une société qui vit à ce rythme est condamnée. Le président de l’Assemblée de Corse en a appelé à l’intervention de l’Etat dans l’exercice de ses compétences régaliennes parce que la Corse seule ne peut faire face à un tel phénomène destructeur et rejeté par l’immense majorité des Corses qui aspirent à vivre sereinement et dignement.
    Monsieur le ministre, il faut démanteler ces bandes armées, interpeller les individus qui mettent ainsi la Corse en coupes réglées. Ces dix dernières années le modèle libéral low cost, fondé sur l’économie résidentielle et la dé-sanctuarisation, a stimulé leurs ambitions dans l’immobilier notamment. Les trafics vous l’avez souligné ont été florissants pour la drogue, les jeux et la main d’œuvre à bas coût…
    Il faut s’extraire des faux débats et des clichés. Vous avez cité une profession celle des notaires. Soit vous en dites trop, soit vous n’en dites pas assez si vous disposez d’information et si certains notaires sont effectivement indélicats il faut être précis sans bafouer la présomption d’innocence. Il appartient à la justice et à la police de mener les enquêtes. Ainsi l’impérative nécessité d’élucider les affaires criminelles va de pair avec la confiscation des biens illégalement acquis.
    Le gouvernement a renforcé les moyens pour cela, nous nous en félicitons, il doit également veiller à la coordination et à la cohésion des services pour gagner en efficacité. La circulaire pénale doit le permettre. Pour ce qui nous concerne, nous faisons la différence entre le témoignage et la délation parce que nous ne tirons pas un trait d’égalité entre le braqueur et le braqué, entre l’assassin et l’assassiné. Nous nous mettons du côté de la victime. Le témoin n’est pas le repenti. Il agit par civisme sans être payé mais la subornation existe et il faut l’empêcher.
    La pression exercée par les criminels est très forte. Les actes commis relèvent de la barbarie. Dans ces conditions plus encore il faut rétablir les repères, c’est ce à quoi s’emploi le président de l’Assemblée de Corse à travers la commission violence. Il privilégie la culture intellectuelle non le culte des armes, la justice, non la vengeance, le vivre ensemble, non le relationnel formel, le respect de la vie humaine et les règles élémentaires d’un fonctionnement normal de la société. La Corse à besoin de transparence et de démocratie.
    En Corse comme dans tout le pays les collectivités publiques font l’essentiel de l’investissement sauf qu’ici l’abus de position dominante est facilitée à la fois par le petit nombre d’entreprises susceptibles de répondre aux appels d’offres et par la difficulté de candidater pour les entreprises extérieures. Là-dessus s’ajoute une proximité problématique entre le monde économique et politique qui nécessite des mesures spécifiques empêchant ce type de cumul a fortiori sur un territoire de si petite taille.
    Pour ce qui est du sport la loi, permettant l’introduction en bourse des clubs de foot en 2005, a structuré le championnat en distinguant ceux qui peuvent prétendre aux premiers rôles en Europe et les autres qui deviennent des faires valoir en imposant les mêmes critères de gestion à tous. L’élite peut se vendre aux fonds d’investissements aux origines indéterminées.

    Les clubs qui font le milieu et le bas de classement doivent se débattre pour boucler leur budget en comptant sur les subventions publiques. On peut s’interroger sur certains transferts mais au-delà de tel ou tel cas qui interpelle et justifie une clarification, il faut réguler ce milieu où le joueur est plus une marchandise qu’un être humain.
    Monsieur le ministre depuis que le gouvernement a présenté ses dix mesures pour rétablir l’Etat de droit et combattre les dérives affairiste et mafieuse, des rapports, des écrits des déclarations, consécutifs au lâche assassinat du préfet Erignac ont refait surface.
    Les rapports parlementaires Glavany, pour l’Assemblée nationale, Courtois pour le Sénat, le rapport Legras pour la justice, tous fournissent des éléments sur lesquels l’Etat peut orienter son action et fonder les positions du gouvernement en effaçant les stigmates de l’affligeant épisode des paillotes incendiées par les hommes du préfet Bonnet.
    Montrer une perspective tel est l’enjeu pour ancrer la Corse avec ses spécificités dans la République et l’assurer à travers l’application des principes républicains de la solidarité nationale qui le permettent. L’action des élus, l’intervention citoyenne et démocratique indispensables au sursaut civique se développeront d’autant mieux.
    La Corse a besoin d’une politique de rupture avec celle de la droite qui a contribué à aiguiser les appétits sur les portions de territoire les plus lucratives. Dans le cadre de l’élaboration du PADDUC nous défendons l’application de la loi littoral, nous nous sommes mobilisés pour mettre en place une Agence de l’urbanisme et un EPF. Le gouvernement doit accompagner ces efforts de reconquête de la maîtrise du foncier comme dans ses efforts de construction de logements sociaux.
    Dans le même temps la convoitise de l’argent public dans de nombreux domaines a été encouragée par l’accélération libérale de la libre concurrence. La continuité territoriale, mise en cause dans ses fondements, en fournit l’exemple le plus significatif. La Mission sénatoriale Revet, la Chambre régionale des comptes et maintenant l’Inspection générale des finances l’ont démontré. Le gouvernement ne peut l’ignorer.
    Le gel de l’enveloppe de continuité territoriale impacte lourdement le budget de l’OTC confronté avec les compagnies délégataires de service public à la hausse du coût du pétrole. Ces compagnies, dont l’Etat est encore actionnaire, pour deux d’entre elles sont en difficultés et celles-ci sont répercutées sur les usagers et les salariés. Les tarifs sont trop élevés et les plans sociaux se multiplient. Air France a licencié 45 jeunes en février dernier sur les escales de la Corse.
    A la SNCM 900 postes ont été supprimés ces dix dernières années. Ça suffit ! Nous demandons au gouvernement la réindexation de l’enveloppe de continuité territoriale, la réintégration des 45 indignés d’Air France et l’adoption de loi imposant le pavillon français premier registre pour le cabotage maritime.
    La Corse importe dix fois plus qu’elle n’exporte et au bénéfice d’une loi scellier particulièrement stimulante enregistre un boom immobilier qui fait craindre à présent un effondrement d’autant plus désastreux que des centaines de foyers attendent désespérément un logement social.
    A cela s’ajoute la cherté de la vie, une augmentation sans précédent du chômage en particulier des jeunes, une grande précarité relative à l’économie saisonnière et liée exclusivement à l’activité touristique, un pouvoir d’achat des ménages populaires d’autant plus écrasé que les salaires sont bas.
    Nous préconisons l’adoption d’une loi pour mettre fin au scandale de la vie chère, des mesures fiscales antispéculatives pesant sur les gros patrimoines, un soutien à la création d’emplois stables et rémunérateurs.
    Monsieur le ministre, répondre aux aspirations de celles et ceux qui aujourd’hui sont le plus en difficulté est une priorité. 22 % des ménages insulaires vivent sous le seuil de pauvreté, plus de 60 000 personnes, alors que part ailleurs une infime minorité a pu dans cette situation s’enrichir considérablement. Il suffit de regarder l’écart de revenu de plus de sept points entre les plus riches et les plus pauvres. La grande pauvreté côtoie ainsi la richesse insolente.
    Réduire la fracture sociale et territoriale, créer de l’emploi productif, promouvoir le service public, c’est aussi prendre le chemin inverse de la désertification des territoires, de la RGPP qui a supprimé en Corse plus de mille postes, de la réduction des dotations aux collectivités locales.
    En plus des 10 mesures de lutte contre le crime organisé, le gouvernement doit sans tarder en prendre de nouvelles pour l’emploi, l’Education, la culture, le logement, la santé, l’agriculture… et contribuer ainsi à faire grandir la nécessaire alternative politique et démocratique à la violence sous toutes ses formes et au libéralisme.

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  5. Grunho permalink
    8 Dezembro, 2012 12:34

    Se calhar os capangas do Relvas também andam por lá.

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  6. piscoiso permalink
    8 Dezembro, 2012 12:45

    “La racine du mal, c’est le fric”
    lê-se no LeMonde.

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  7. tric permalink
    8 Dezembro, 2012 14:24

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  8. 8 Dezembro, 2012 14:48

    As desatenções são muitas, incluindo as de 25.000.000 que passam pelo aeroporto Francisco Sá Carneiro.
    O problema nem é angolano nem é brasileiro, é só de turismo e bacalhau. É por isso que o Canadá está no lugar onde está.
    http://www.blogdailha.org/itaparica/06/12/2012/a-quem-pertence-os-25-milhoes-de-euros-levados-por-rosemary-para-portugal/comment-page-1/

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  9. javitudo permalink
    8 Dezembro, 2012 15:16

    “A raiz do mal é dinheiro”, até que enfim que concordo consigo.
    De facto alguma coisa está a acontecer e varre todo o Ocidente.
    Em recente entrevista no jornal Frankfurter Allgemeine Zeitung, Mark Greif, participante na cidade de Nova York, comentou sobre o neo liberalismo:
    “Para uns, o capitalismo é o inimigo. O sociólogo [sic] David Graeber estabeleceu a “99 por cento” declaração, um anarquismo não-violento.
    Há também o grupo de manifestantes a tempo parcial, para quem, como eu, vêm em determinados dias, depois do trabalho, por exemplo. Eles têm uma atitude completamente diferente. Ouvi uma mulher falando para as pessoas de negócios na frente da bolsa de valores: “Eu não sou contra o capitalismo”, disse ela. “Eu acredito na ideia de trabalho duro, mas com a dívida que me obrigaram a contrair, não importa o quanto eu trabalho, eu nunca vou ser capaz de pagar de volta.” Para ela, o capitalismo não é o problema. Pelo contrário – ela quer ser parte do sistema. O problema é uma espécie de capitalismo que torna impossível para aquelas pessoas que cumprem as suas regras para levar uma existência de classe média ordenada “.

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  10. tric permalink
    8 Dezembro, 2012 15:24

    e aqui em Portugal tambem…algo de muito estranho se passa!! o ataque a Medina Carreira quando se aproxima a venda “fraudulenta” de activos estratégicos portugueses a estados estrangeiros aos quais o Dr. Medina Carreira se opõe…ainda por cima agora querem vender a TAP aos Israelitas…a energia nas mãos dos chineses e dos sunitas…a TAP nas mãos dos Israelitas…o espaço a aério português tambem vai passar para mãos de estados estrangeiros…o Liberalismo Português, é aquela ideologia que vende todos os activos estratégicos do estado português a estados estrangeiros…isto é um atentado à soberania de Portugal !!! o Liberalismo é Judaico…sem sombra de dúvida…

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  11. Portela Menos 1 permalink
    8 Dezembro, 2012 15:26

    Nao fosse esse conceito “marxista” da igualdade de oportunidades…

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  12. Wall Streeter permalink
    8 Dezembro, 2012 15:35

    Vá lá Helena,
    se for estudar a cultura de crime organizado na Córsega durante o último século, e o comparar com aquela mais conhecida da Sicília, encontrará padrões de repetição desconcertantes.

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  13. Tiradentes permalink
    8 Dezembro, 2012 15:35

    Reparem bem como o tric salta por cima dos “investimentos angolanos”, que por sinal, são os de maior vulto e mais abrangentes incidindo sobre a banca e sobre os mídia.Dialéctica materialista.
    Não é por acaso mas mais não digo.

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  14. JDGF permalink
    8 Dezembro, 2012 15:49

    A propósito do crime em França ler: “Le monde des mafias. Géopolitique du crime organisé” de Jean-François Gaynaud .
    Por cá, estamos num intervalo de ‘ajustamento’. Devem estar a chegar as ‘tríades’

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  15. lucklucky permalink
    8 Dezembro, 2012 17:22

    Chorrilho de tretas javitudo.
    Julga que o PS+Sócrates com o apoio de todos os outros partidos – nenhum lutou verdadeiramente contra o défice – aumentou a dívida em 90 mil milhões de euros por causa do “capitalismo”?
    Aumentou a dívida por causa do Ilimitado Poder do Estado sobre a economia das pessoas nas Democracias Sociais para comprar votos.
    O Povo deu todo o poder ao Estado para este tirar à minoria para dar ao Povo .
    Depois o Povo admira-se que com esse poder todo o Estado faça o que quiser.
    A maioria do Povo tem o que merece.

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  16. 8 Dezembro, 2012 17:36

    Diz que o Soares e a respetiva família ideológica passa férias na região em questão.
    Não sou de intrigas…
    R.

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  17. javitudo permalink
    8 Dezembro, 2012 18:03

    Alguma coisa acontece na PJ
    A investigação em Portugal por FILOMENA MARTINS (DN)

    “Que o Ministério Público tem de investigar todos os indícios e pontas soltas de um processo não há dúvidas. O problema – o grave problema – está na forma como o faz. Medina Carreira é apenas a última vítima (conhecida) dos métodos de investigação das nossas polícias, que começam a fazer lembrar os que Edgar Hoover impôs na América quando fundou o FBI. O nome do fiscalista e ex-ministro das Finanças surge numa das “agendas” de remessas de dinheiro dos arguidos do caso e isso obriga a ir verificar. Mas é possível fazê-lo – para chegar à conclusão de que afinal era só um nome de código – sem ser na praça pública. Da forma como foi feito (mais uma vez) só pode ter um propósito muito baixo. Se isto se tem multiplicado em relação a figuras mais ou menos conhecidas da nossa sociedade, imagine-se o que acontecerá a pessoas sem voz ou meios para se defenderem. Já há razões para sentir medo da investigação criminal em Portugal. Qualquer um pode ser envolvido publicamente numa história com a qual nada tem a ver. Por manifesta incapacidade do Ministério Público em gerir a informação. Ou, no pior cenário, por permitir que essa informação seja manipulada e usada para fazer julgamentos sumários. A perceção dantes era de que os poderosos nunca eram investigados. Agora é exatamente a contrária: parece já não existir quem não seja suspeito de um qualquer crime, suspeita que na maioria das vezes nunca se concretiza, permanecendo a dúvida eterna. Não sei o que é pior. Sei é que a descrença nesta justiça e nesta investigação já não devia cair mais. Mas afinal parece que há níveis abaixo do lodo.”

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  18. A. R permalink
    8 Dezembro, 2012 19:45

    É apenas o preço a pagar por importar parasitas da sociedade e gente formatada por valores de um criminoso do Séc VII para a Europa. Veja-se o que acontece em Inglaterra com o grooming, em Barcelona e nos países nórdicos: 95% da criminalidade é feita por comunidades que não chegam aos 7% da população.

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  19. javitudo permalink
    8 Dezembro, 2012 19:47

    Alguma coisa está a acontecer.
    Muitos ainda votam.
    “Uma mulher, de 33 anos, que vivia “completamente isolada do mundo” desde os 10 anos, foi encontrada num estado “quase animal” num monte isolado do concelho alentejano de Serpa, onde residia com os pais idosos e uma irmã.
    “Em pleno século XXI, é uma situação chocante. Só vendo mesmo o rosto e o comportamento dela. Não dá para descrever”, disse à agência Lusa a directora do Centro Distrital de Beja da Segurança Social, Helena Barreto”.

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  20. javitudo permalink
    8 Dezembro, 2012 21:41

    Alguma coisa acontece além da paróquia
    http://larouchepac.com/node/24609

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  21. Portela Menos 1 permalink
    9 Dezembro, 2012 00:06

    é fartar vilanagem!
    http://www.dn.pt/politica/interior.aspx?content_id=2889667

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  22. jif permalink
    9 Dezembro, 2012 04:54

    a con tece e a con vai-se a um con tudo acontece
    a france tá cheia de con’s e de convictes c’est normal
    lá diria le pére noel o nosso ou o deles tanto faz
    a máfia corsa matava menos quando andava mais independentista

    a dedicação exclusiva ao tráfico mata mais…

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  23. jif permalink
    9 Dezembro, 2012 04:56

    lead chromate is always poisonous nous ou les autres tante fax
    les uns et les autres….

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  24. 10 Dezembro, 2012 13:02

    O Expresso falou da violência na Córsega na edição de 1 de dezembro.

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